Publicada en España La Bibliotecaria de Auschwitz
The Librarian of Auschwitz, published in Spain
La Bibliotecaria de Auschwitz
Salva Rubio & Loreto Aroca
Planeta de Cómic
9788491749332
Traducida a cuatro idiomas
Una novela gráfica basada en la obra de Toni Iturbe.
A Dita le encanta leer. Pero en Auschwitz, los libros están prohibidos bajo pena de muerte. Dita Adlerova es una adolescente que, junto a su familia y tantos otros judíos, es llevada al más letal campo de concentración de la Segunda Guerra Mundial: Auschwitz.
Sin embargo, cuando Dita descubre un puñado de libros, decide convertirse en la “Bibliotecaria de Auschwitz”, arriesgando su vida para que niños y adultos puedan evadirse, aunque solo sea por unas horas y solo con la imaginación, de la terrible vida en el campo de exterminio. Pero ha de tener cuidado: el letal doctor Mengele, famoso por sus terribles experimentos, la vigila de cerca.
Salva Rubio y Loreto Aroca adaptan a novela gráfica la exitosa novela de Antonio Iturbe que cuenta esta increíble historia real, y que ha vendido más de miles ejemplares en todo el mundo.
Esta nueva visión de este clásico moderno está firmada por el guionista Salva Rubio y la dibujante mallorquina Loreto Aroca. Desde luego, Salva Rubio se ve que se ha convertido en el adaptador oficial de novelas históricas a cómic ya que varios de los títulos mencionados a lo largo del artículo llevan su firma. (…) me gusta mucho el estilo de dibujo de Loreto Aroca. (20 minutos)
Un cómic que, pese a la temática, gustará a lectores jóvenes que se identificarán con la protagonista y disfrutarán con el elegante dibujo de Aroca, con estética de película de animación supertaquillera. (La Vanguardia)
Dulce y emocionante adaptación de la novela de Antonio Iturbe: Salva Rubio (guion) y Loreto Aroca (dibujo) optan por una narración amable. Una opción semejante al film, dirigido por Roberto Benigni, La vida es bella. Esta estrategia funciona y, como digo, convierte a este cómic en una obra accesible a lectores de diferentes edades. Para contrastar esta impresión le he prestado la obra a lectores de doce años y, efectivamente, les ha gustado mucho.En definitiva, nos encontramos ante una obra muy bien construida y juvenil. Un trabajo que parece estar pensado para divulgar una tragedia y que nos recuerda a la afamada El diario de Ana Frank. El trabajo de Aroca me ha resultado especialmente emocionante. (Culturamás)
On va pouvoir ajouter La Bibliothécaire d’Auschwitz à la liste trop courte des grandes BD consacrées à l’Holocauste, à la déportation qu’il faut ne jamais envisager un instant ni d’oublier, ni de pardonner. On a pensé au Photographe de Mauthausen déjà de Rubio, aux Anges d’Auschwitz de Desberg et bien sûr au Rapport W de Nocq. L’histoire de Dita Adlerova, quatorze ans, amoureuse inconditionnelle des livres aura la vie sauve dans des circonstances atroces grâce à eux. Salva Rubio dont on sait toute la rigueur historique et le grand talent d’écriture a adapté le roman de Antonio G. Iturbe. Une histoire vraie que celle de Dita, bouleversant, pudique mais qui montre l’indicible, la monstruosité du nazisme qui n’est pourtant qu’une affaire d’êtres humains comme d’autres. Au dessin qui capte toute l’émotion de Dita, ses parents, ses camarades de camp, c’est Loreto Aroca au talent sobre mais terriblement efficace. (Ligne Claire)
Et c’est la réussite de cette histoire, de cet album au dessin semi-réaliste de belle facture, que de savoir raconter un peu du meilleur, sans absolument rien occulter du pire. Une des magnifiques surprises de la rentrée. (L’Est Républicain)
La bibliothécaire d’Auschwitz est un nouveau témoignage bouleversant. Une histoire à connaître pour tous les gens passionnés par l’Histoire et plus particulièrement par celle, très riche, de la seconde guerre mondiale, extraordinaire révélateur de toutes ces destinées qui se sont révélées à l’ombre de ses horreurs. (Sceneario)
La bibliothécaire d’Auschwitz est une bande dessinée émouvante. Elle nous raconte l’histoire d’une survivante d’Auschwitz passionnée par les livres. Entre censure, épreuves et horreurs Dita vous dévoilera tout d’Auschwitz de son point de vue d’enfant. Ainsi que son combat mener jusqu’à la Libération. Cette bande dessinée nous montre également l’importance de la lecture dans les moments sombres. (Les Tribulations de Coco)
Après avoir été vivement enthousiasmée par le roman d’Antonio G. Iturbe qui m’a permis de découvrir l’incroyable histoire de la courageuse Dita Kraus, j’ai trouvé cette adaptation globalement fidèle au récit originel. Une bande dessinée qui prend le parti d’évoquer l’indicible des camps de manière assez succincte ce qui permet au jeune public de se lancer dans cette lecture sans difficulté. (MesEchapéesLivresques)
Peut-on pleurer pour un livre ? Oh oui ! Cela ne m’était pas arrivé depuis bien longtemps… (…) Voilà une adaptation bien travaillée et réussie, je n’ai pas pleuré avec le roman mais avec cette BD oui. (…) Quoi qu’il en soit, c’est pour moi encore un vrai coup de cœur, je n’ai franchement rien à y redire, quand ça me touche à un tel point, je donne la note maximale et ne peux que vous conseiller de le lire. Je souligne aussi la présence d’un carnet explicatif tant sur les personnages, lieux que les contextes historiques. (SambaBD)
La Bibliothécaire d’Auschwitz est un récit très émouvant et qui montre toutes les ressources que chacun et chacune a su déployer pour tenir au milieu de cet enfer. Les dessins de Loreto Aroca et ses couleurs suivent les moments de vie de Dita. On commence par des couleurs lumineuses, puis très vite, les tons de gris du temps de l’internement à Auchwitz prennent la place pendant de longues pages. On ne retrouvera la lumière qu’à la fin de l’album. Loreto Aroca a su saisir les moments fondamentaux à conserver du roman, il y a un très bon travail sur les expressions des personnages. (Histoiredenlire).
Un bel album qui offre un nouveau regard sur cette période, accessible dés l’adolescence. Il met en lumière une survivante, une femme forte, courageuse, une personne encore connue aujourd’hui comme « La Bibliothécaire d’Auschwitz ». Une histoire qui met en valeur la puissance de l’amour, la force des livres, leur dangerosité, et l’importance de l’instruction. Une histoire vraie empreinte de douceur, de pudeur et d’optimisme malgré la guerre et ses atrocités. Le cahier historique à la fin a apporté un éclairage supplémentaire à ce récit. (Petites Lectures)
Cette jeune passionnée de lecture a été déportée dans le camp d’Auschwitz mais avec ses parents « elle fait partie des chanceux » puisqu’ils ont été choisit parmi des centaines d’autres prisonniers pour prendre part à une expérience (malgré eux): celui du camp familial. (…) Cette BD très noire au vue du contexte n’est pas à mettre dans des mains de trop jeunes adolescents. Mais elle est importante pour le devoir de mémoire. (La bibliothèque de Cel et ses Crapouilles)
L’histoire a pour mérite de dévoiler un angle peu connu des sordides et inadmissibles camps de concentration. Loreto Areca vient du dessin animé. Elle signe ici sa première bande dessinée. Ses grandes cases montrent la solitude dans laquelle se trouvent les prisonniers. Elle invite à l’empathie pour ces milliers de victimes qu’elle représente, soit anonymement, soit avec Dita et ses parents. (BDBest)
L’utilizzo dei colori sembra rientrare in uno schema ben preciso: alla luminosità del sole nei momenti felici a Praga prima della guerra, si contrappone il grigio delle strade invase dalle truppe tedesche e del campo di concentramento. Mentre viene utilizzato uno sfondo rosso nei momenti in cui Dita prova paura e terrore molto forti. Questa storia ci invita a non perdere mai la speranza: perché, come nei disegni alla fine, dopo il buio e la foschia torna a splendere il sole. (Bet Magazine Mosaico)
L’adattamento a fumetti della storia romanzata di Dita, che oggi vive tra Israele e la Repubblica Ceca, non sfrutta degli effetti stilistici particolari per raccontare l’orrore della deportazione. La linea è chiara, le vignette squadrate e regolari. I dettagli più macabri sono volutamente lasciati sullo sfondo o all’immaginazione del lettore. Davanti alla banalità del male, ben rappresentata dall’appassionato di musica Mengele o dai gerarchi venuti ad assistere a uno spettacolo teatrale creato dai bambini, l’illustratrice ha preferito giocare con i colori. Tra il seppia, il grigio, il blu e dei viola o rossi inquietanti per dipingere la vita nei campi. Più vivaci per il prima e il dopo la guerra ma anche per quei rari momenti di umanità nell’orrore. Perché quella di Dita è anche una storia di sopravvivenza, da non dimenticare. (Radio Popolare)
Un graphic novel per conoscere la Shoah e non dimenticare, ispirato alla vera vita di Dita Kraus, la bibliotecaria di Auschwitz (il Castoro): Dita ama da sempre i libri e, quando a 14 anni viene deportata ad Auschwitz, diventano la speranza a cui aggrapparsi, la sua salvezza. Accanto a lei, in quella nuova vita, ci sono il professor Morgenstern, Margit, Ota e Fredy Hirsch, un giovane ebreo carismatico che le affida la custodia di alcuni libri trafugati. E saranno proprio quelle pagine, talvolta in lingue sconosciute, che aiuteranno Dita ad affrontare l’orrore che sta vivendo, a darle un motivo per resistere, anche quando il terribile Josef Mengele la minaccia, suo padre perde la vita, e la loro condizione diventa più insostenibile giorno dopo giorno. La storia, ispirata al romanzo di Salva Rubio (pubblicato in Italia da Rizzoli) è in libreria con le illustrazioni di Loreto Aroca e la traduzione di Francesco Ferrucci. (Illibraio)
È destinata invece a un pubblico più giovane (ma non solo) la graphic noveledita dalla casa editrice Il Castoro, adattamento a fumetti del romanzo di Antonio Iturbe, La bibliotecaria di Auschwitz, di Salva Rubio e disegnata da Loreto Aroca. La protagonista è Dita Kraus, giovane amante dei libri che a 14 anni viene deportata ad Auschwitz e proprio nei libri trova speranza a cui aggrapparsi e salvezza. Accanto a lei, in quella nuova vita, ci sono il professor Morgenstern, Margit, Ota e Fredy Hirsch, un giovane ebreo carismatico che le affida la custodia di alcuni libri trafugati. E saranno proprio quelle pagine, talvolta in lingue sconosciute, che aiuteranno Dita ad affrontare l’orrore che sta vivendo, a darle un motivo per resistere, per sé e per gli altri, anche quando la realtà prende il sopravvento e la loro condizione diventa più insostenibile giorno dopo giorno. (The WOM Culture)
Quella testimonianza è stata raccolta dallo scrittore spagnolo Antonio Iturbe nel suo bestseller “La bibliotecaria di Auschwitz”, oggi divenuto – con lo stesso titolo – una splendida graphic novel (Editrice Il Castoro, 2023,pp. 136), scritto da Salva Rubio e illustrato da Loreto Aroca. L’immediatezza delle illustrazioni e l’essenzialità dei testi e dei dialoghi (ben tradotti da Francesco Ferrucci) ci restituiscono in pieno l’eroismo – come chiamarlo in altro modo – di una ragazza che comprese il valore intrinseco della cultura, unico punto fermo che poteva aiutare lei, i suoi compagni e le sue compagne di lager a conservare la propria dignità. Come Primo Levi che ad Auschwitz ritrovò il senso della vita recitando alcuni versi della Divina Commedia a un altro deportato, così Dita trovò un senso in quello che le stava accadendo quando Fredy Hirsch, un giovane ebreo carismatico, le affidò la custodia di alcuni libri trafugati. In quel momento la stava destinando a una missione: non arrendersi. I nazisti bruciavano, infatti, la parola scritta rendendo tragica realtà la massima del poeta tedesco dell’Ottocento Heinrich Heine “Là dove bruciano i libri finiscono per bruciare anche gli uomini”. (Unione Sarda)
“The Librarian of Auschwitz” celebrates courage and survival, while also dealing with painful suffering and loss. It also reminds us of the power of books and reading: “Novels add what’s missing in life.” (…) [It is] a solid glimpse into a moment of our history that we can all still learn from and should never forget. It is a true inspiration. Four stars out of five. (Semmie’s Space)
The illustrations in the book really bring the story to life. Several scenes got me all teared up. It was easy to feel Dita’s anguish over the death of her father and her friend. I also had chills as she acted quickly to hide books from Nazi soldiers during an inspection, an act that saved everyone in her block. After the story finishes, there are some sections that explain more of the history and give facts about some of the important characters. I enjoyed reading that as well. All in all, this is an incredibly inspiring story that makes me want to know more about Dita Kraus and her life. (The Story Sanctuary)
The illustrations keep a good balance between showing stark truths and maintaining suitability for younger readers. To that end, there are some panels that show naked bodies, but nothing gory or sexual is on page. Mengele’s experiments are spoken of in order to showcase the terror felt by the prisoners but never explained in detail or in illustration. I liked the way the artist used muted neutral colors throughout the story. It set the tone and brought the reality of this part of our history into stark light. (No Flying No Tights)
Écrite récemment, cette histoire présuppose une connaissance du sort réservé aux juifs et aux déportés durant la Seconde Guerre mondiale, ce qui lui permet d’évoquer des événements et faits sans être lourd ou précepteur. Totalement abordable, le récit en est donc largement allégé, malgré la tension évidente qui se dégage de ses pages. Un ouvrage au très grand format qui laisse aux personnages de Loreto Aroca la place de respirer un tant soit peu et à présenter cette importante part d’histoire sans misérabilisme. (Bodoi)
Now, Salva Rubio and Loreto Aroca have interpreted Iturbe’s work in a graphic novel for young adults. They have simplified some of the history behind Dita Kraus’s suffering and liberation, but the impact of the original narrative remains. (…) While the ending of the graphic novel offers some cautious notes of happiness, the text and pictures nevertheless convey the harsh realities of the infamous death camp. (Jewish Book Council)
La richesse de cette bande dessinée consiste notamment à pouvoir être lue par des enfants comme par les plus âgés. C’est un livre qui invite au partage et à la discussion. A travers un trait vigoureux et de très beaux dessins, la jeune illustratrice espagnole Loreto Aroca donne à comprendre ce qui s’est vécu pendant ces longs mois dans les blocs des camps de concentration. Dans les dernières pages, le scénariste Salva Rubio partage ce qu’il a découvert de ce tragique épisode de la guerre de 39-45. (Cath)
Sono tante le storie delle vite che raccontano l’orrore dei campi di concentramento, ma ancora troppo poche per riuscire a convincere il mondo di oggi che alcune scelte e strade sono pericolose da intraprendere, sempre. Salva Rubio e Loreto Aroca propongono una nuova chiave di lettura del romanzo di Antonio Irube: raccontano la storia di Dita attraverso il graphic novel, un linguaggio vicino ai giovani e immediato che in questo caso diventa anche prezioso perché si tratta una storia di speranza e di coraggio. (Mangialibri)
La richesse de cette bande dessinée consiste notamment à pouvoir être lue dès les plus jeunes générations, jusqu’aux plus âgées. Cela ne nous étonnerait pas que de longues discussions puissent suivre en famille sur les livres que chacun voudrait préserver, ou partager… Cette BD montre enfin un intérêt historique. De très beaux dessins, qui parfois se suffisent à eux-mêmes, permettent de faire comprendre ce qui s’est vécu pendant ces longs mois dans les blocs des camps de concentration. Dans les dernières pages, le scénariste Salva Rubio partage ce qu’il a découvert de ce tragique épisode de la guerre de 39-45. Il va jusqu’à dévoiler les crayonnés des personnages dessinés par Loreto Aroca, pour suivre leur évolution à travers les années. (Cathobel)
Adattamento a fumetti del romanzo di Antonio Iturbe. Ispirato alla vita vera di Dita Kraus, la bibliotecaria di Auschwitz: una delle storie più eclatanti di eroismo culturale. Dita ama leggere, ma ad Auschwitz i libri sono proibiti, pena la morte. Lì, Dita scopre una manciata di libri trafugati e diventa la bibliotecaria di Auschwitz, rischiando la propria vita perché bambini e adulti possano sfuggire, anche se solo con la fantasia, alla terribile vita nel campo di sterminio. (Tg24)