Les Zazous: All too soon (T1)

Salva Rubio & Danide

Editions Glénat 

9782344041772

Francia, Junio de 1940. Los alemanes invaden París y comienza la Ocupación. Pero un grupo de jóvenes no está dispuesto a que ni la guerra, ni los “boches” o la policía les amarguen la fiesta de la juventud.

Son los Zazous, un grupo de estrafalarios apasionados del jazz y del swing, llamativos, rebeldes y sobre todo, amantes de la música. Frankie, un joven solitario, se ve obligado a unirse a ellos como informante policial, pero entre los zazous descubrirá por primera vez el significado de la amistad, el compromiso y el amor. 

También, el peligro de perderlo todo, incluso la vida.

Les Zazous: You don’t know what love is (T2)

Salva Rubio & Danide

Editions Glénat 

9782344045695

Paris, 1942. Depuis que Frankie a infiltré les Zazous pour le compte de la police, il n’est plus le même, au milieu de ces jeunes rebelles qui cultivent leur look avec aplomb. Qu’ils soient danseurs, musiciens ou étudiants, ils refusent la morosité d’un Paris occupé et ont fait du swing un hymne à la liberté. Mais dans un contexte de guerre, l’étau autour de la capitale se resserre dangereusement. La montée de l’antisémitisme bouleverse la vie de cette jeunesse jazz et la divise. Paulette est la première à voir ses rêves brisés quand l’université ferme ses portes aux Juifs. Désormais, comme tant d’autres, elle devra porter une étoile jaune… 

Les Zazous: Every time we say goodbye (T3)

Salva Rubio & Danide

Editions Glénat 

 9782344056035

París. Durante la Ocupación, los nazis crearon un clima de terror en la ciudad, sembrando el odio y atacando los más pequeños espacios de libertad. Tras sufrir una tragedia, los Zazous deciden unirse a la resistencia y participar en una acción armada contra los invasores alemanes. Frankie sale de la cárcel pero se encuentra con que sus amigos han cambiado por completo… ya casi no confían en él. Mientras tanto, los alemanes empiezan a darse cuenta de que pueden perder la guerra y, en su desesperación, se vuelven más violentos que nunca. Pero en esta lucha armada, incluso cuando se trabaja para la resistencia, se cierne otra amenaza… la de llegar a ser como ellos.

Esta trilogía histórica nos adentra en el mundo de los zazous, los bailarines, músicos y rebeldes de corazón que lucharon contra la barbarie. En este tercer y último volumen de la serie, Salva Rubio nos ofrece un relato dramático, giratorio y conmovedor, realzado por el grafismo dinámico y expresionista de Danide.

Les scénarios de Salva Rubio sont toujours bien ficelés, et ce premier tome d’une série qui en comportera trois ne fait pas exception. Remarquablement documenté, le récit emportera rapidement le lecteur qui prendra plaisir à rentrer dans une intrigue qui a pour trame l’histoire avec un grand H.On ajoutera au constat un rythme aussi soutenu que le swing que revendiquent les Zazous : Salva Rubio déroule son script passant d’un semblant de légèreté à une réelle gravité eu égard à la période difficile et l’omniprésence nazie. (Auracan)

L’historien et romancier espagnol Salva Rubio s’impose de plus en plus comme un scénariste de premier ordre : notamment avec cette virevoltante trilogie dramatique, remarquablement mise en valeur par le trait dynamique et expressionniste de son compatriote Danide. (…) Revenant, entre autres, sur la tragédie du Vél’ d’Hiv’, l’excellent Salva Rubio quitte le batifolage et la frivolité du premier volume pour nous livrer une fiction aussi palpitante que poignante, où les personnages se prennent la réalité en pleine gueule : les auteurs réussissant, toutefois, à instaurer une ambiance à la « West Side Story » dans un contexte historique digne d’« Il était une fois en France ».  (BdZoom)

Tout en nous plongeant dans ce contexte guerrier mondial qui vient quelque peu dramatiser la situation, Salva Rubio nous offre une autre facette de celui-ci, certes cachée mais beaucoup plus contrastée, plus libérée et plus jeune. Le concept mis en place est plutôt conventionnel mais a l’avantage de nous introduire dans une introspection bien surprenante au départ pour nous faire découvrir un microcosme rebelle au demeurant épris de musique américaine bien swinguante. (Sceneario)

Dans l’album, Rubio pose parfaitement le problème sur le fond tout en donnant à ces héros des objectifs plus proches d’une action sur le terrain comme la manifestation des jeunes à l’Arc de triomphe du 11 novembre qui va mal tourner. Un premier album qui pose le décor, les personnages et leur évolution pour un futur qui sera à coup sûr dramatique. Bien tourné cependant et Danide a crée une vraie atmosphère. (Ligne Claire)

J’apprécie toujours autant l’entrée originale choisie par Salva Rubio pour aborder le sujet tellement traité de la seconde guerre mondiale. Et le récit est d’autant plus réussi qu’il s’appuie sur une réalité historique étayée par le remarquable cahier en épilogie. Ce tome 2 montre les zazous comme des éléments résistants, à leur manière, contre l’occupant et ça les rend d’autant plus attachants. (Lecteurs)

Prenez “Il était une fois en France” et ajoutez-y un peu de “West Side Story”, vous obtiendrez Les Zazous : un récit dramatique et virevoltant mettant à l’honneur des artistes urbains méconnus. Dans cette nouvelle trilogie historique, découvrez des êtres humains fascinants qui, pour lutter contre la barbarie, ont choisi la légèreté et le divertissement… (Ardenneweb)

Le dessinateur Danide marque cet album de son style extrêmement fluide, les vêtements amples de ses personnages bougent en permanence et son utilisation du noir appuie un classicisme dans la forme qui rappelle les artistes américains des années soixante. Certaines cases de balade en ville sont de véritables hommages à Will Eisner. On sent que Danide s’amuse avec les codes et qu’il a beaucoup admiré ses prédécesseurs. C’est un peu surjoué parfois, mais avec une insolence qui correspond tout à fait aux héros de cette histoire. (Planete BD)

Documenté et rythmé comme un bon swing, passant progressivement d’une relative légèreté à une gravité certaine, le premier opus pose le contexte, le décor et les personnages via des planches réalistes au trait fluide et aux couleurs rétro efficaces. L’album se termine sur un intéressant cahier documentaire et une playlist adéquate. (ToutenBD)

Agréable à lire, proposant même une playlist en dernière page pour accompagner le récit, les 56 pages de ce premier tome se tournent avec plaisir. Intense, le récit demeure aisé, malgré quelques scènes plutôt sombres et difficiles – l’occupation, on a beau vouloir l’oublier, elle est bien présente dans la vie des personnages. Les couleurs vives des zazous, leur folle envie de danser, d’écouter de la musique américaine, de s’amuser, de choquer aussi… transpirent tout au long de cette histoire où chacun à sa part d’ombre et de lumière : Français comme Allemands, étudiants comme policiers, commerçants comme voleurs… Les réflexions de Fred apportent une vision intéressante, apolitique mais sans tabou, de son époque et de ses gens, tandis que le dessin et le découpage donnent énergie et rythme à ce premier de la série. L’ensemble fait de ces Zazous, un récit aussi dramatique que virevoltant !(Land)

Une bande dessiné à découvrir, pour réfléchir ou tout simplement s’aérer l’esprit avec une histoire passionnante et un dessin léger, frais et coloré ! Elle permet aussi d’apprendre à connaître les zazous, ces jeunes anticonformistes dans le Paris des années 40. Une BD qui offre une fidèle représentation de l’état d’esprit des bourgeois de ce temps, mais pas que… (AirZen)

Tout le récit est en paradoxe grâce au scénario de Salva Rubio. Il nous décrit avec tendresse et énergie, les choix d’une jeunesse découvrant l’amour, l’amitié, la confiance. Brimés par la guerre, qu’ils mettent en « sourdine » lors de leurs apartés dansantes où leur swing indéfectiblese joue de la croix gammée . On rentre dans l’Histoire, dans cette histoire aux Éditions Glénat, où les personnages attachants et fougueux captent toute notre attention. (FranceNet Infos)

Cette description de la vie sous l’Occupation se fait sous le regard d’une micro-société au fort potentiel rebelle. Confrontés aux arrestations, les Zazous encaissent. Puis le mot “Résistance” est prononcé. Ensuite, survient la journée du 11 novembre 1940. Un bon début pour une série au fort potentiel dramatique. (Onirik)

Le premier tome de cette trilogie m’a convaincue. Il m’en a beaucoup appris sur une facette de la Seconde Guerre Mondiale assez méconnue (le dossier proposé en annexe est très intéressant et pousse les explications encore plus loin). J’ai hâte de savoir quels seront les choix de Fred et ce qui attend tous ces artistes incompris. (Bulles et Chapitres)

Un récit dramatique, virevoltant et émouvant mis en avant par un graphisme dynamique et expressionniste. (Actualitté)

Salva Rubio et Danide au dessin continuent avec talent de raconter le destin parfois tragique de ces Zazous qui avaient bravé aussi l’antisémitisme d’état. (…) Un récit bien documenté comme le montre le dossier en fin d’album, certes romanesque un peu poussé pour soutenir les faits mais Rubio sait maîtriser son histoire.  (Ligne Claire)

Après un coup de cœur pour le premier tome, c’est le cœur brisé que je referme ce second opus. Avec « You don’t know what love is », le lecteur prend conscience des privations, de la gravité de la situation qui dégénère doucement. La danse ne suffit plus à contrer les armes, l’holocauste imminent. Le tourbillon entraînant du premier tome des Zazous aux Éditions Glénat, se meut en drame sombre, lorsque les « enfants terribles » s’opposent à une idéologie nazie ne laissant plus aucune place à la légèreté. En attendant le troisième tome, prenez donc une boîte de kleenex, vivement conseillée. (France Infos)

Le scénariste Rubio, dont on avait remarqué l’album La Bibliothécaire de Mauthausen, connaît son affaire. Tout est précis et documenté. Un dossier et des indications bibliographiques viennent d’ailleurs compléter l’album. Le dessin de Danide est dans la droite ligne de cette nouvelle école de bande dessinée espagnole qui vient se faire publier en France : le dessin est clair et sympathique, et surtout : il swinge ! Ce qui pour un album comme celui-ci, est le bienvenu. (ActuaBD)

Pédagogique, didactique, la BD permet de toucher un public plus jeune qui se sentira proche de cette jeunesse zazoue. Dans Les Zazous, le fond historique est réel, la collaboration, la chasse aux Juifs, la gestapo française, la collaboration française, les personnages des zazous sont fictifs mais pas les nazis qui ont réellement existé. La série d’albums Les Zazous comporte 3 tomes, le tome 2 finit par un très grand suspens, le tome 3 et le dénouement sont attendus avec impatience. (Toutelaculture)

Fin de l’innocence pour nos Zazous, confrontés à la traque des Juifs dans le Paris de 1942 et contraints de passer autrement à l’action qu’en dansant. Le ton est, fatalement, plus sombre, et la trame pas toujours crédible. Mais les intentions demeurent louables, et le dessin virtuose. (Lavenir)

Le tome 1 d’une trilogie en bande dessinée parue chez Glénat, signée Rubio et Danide, et intitulée tout simplement « les Zazous – All Too Soon » apporte une pierre de plus à l’édifice du souvenir. Ici, un jeune voleur, piégé par la police de Vichy, se voit contraint d’infiltrer les bandes de zazous, dont la liberté et les goûts affichés dérangent. Il finira par s’attacher à ces garçons et filles dont la seule obsession en cette période troublée semble être de s’amuser, se défier, flirter et danser. (LeParisien)

L’historien et romancier espagnol Salva Rubio s’impose de plus en plus comme un scénariste de premier ordre : notamment avec cette virevoltante trilogie dramatique, remarquablement mise en valeur par le trait dynamique et expressionniste de son compatriote Danide. Située pendant l’occupation, elle met en scène des jeunes gens — reconnaissables à leurs vêtements d’origine anglaise ou américaine — qui affichaient, entre swing et révolte, leur amour du jazz. (BDZoom)