“Django Main de Feu” publicada en Francia por Dupuis
“Django Main de Feu” published in France by Dupuis

 

Django Main de Feu

Salva Rubio & Ricard Efa

Tapa dura / Hardcover

Editions Dupuis

ISBN: 9791034731244

PREMIO ATOMIUM / COGNITO 2020 DE LA FÊTE DE LA BD DE BRUXELLES A LA MEJOR NOVELA GRÁFICA HISTÓRICA DEL AÑO

PREMIO ELEPHANT D’OR DEL FESTIVAL DE LA BD DE CHAMBÉRY 

SEGUNDA EDICIÓN EN ESPAÑA

 

Django Reinhardt est une légende. Mais Django ? “celui qui réveille” ? est aussi né deux fois. Une première fois dans la neige, durant l’hiver 1910 dans une famille de nomades stationnée à Liberchies, en Belgique. La seconde à Saint-Ouen, près de Paris, à l’automne 1928, quand l’incendie de sa caravane lui mutila la main gauche. 

Le scénariste Salva Rubio et le dessinateur Efa avaient déjà signé ensemble un remarquable biopic sur Monet en 2017, rendant hommage à l’obsession du peintre pour la lumière. De même, ce biopic consacré à la jeunesse du musicien prodige met en scène la passion et l’obstination de celui qui s’est toujours considéré comme le plus grand guitariste du monde.

 

EDICIONES EN OTROS IDIOMAS / OTHER LANGUAGES

 

“Le jury a été sensible à la manière dont les auteurs ont fait revivre toute une époque, restituant la personnalité attachante et complexe de Django Reinhardt à travers ses années de formation. Le récit toujours clair et vivant est soutenu par un dessin qui évoque à merveille l’atmosphère de la communauté manouche dont la tradition musicale a irrigué la création du guitariste. ” (Avis du jury de la Fête de la BD, Bruxelles). 

 

Django Reinhardt raconté en BD. Dans “Django main de feu”, Salva Rubio et Efa racontent les jeunes années du musicien, et en particulier l’incendie de sa caravane, a Saint-Ouen, en 1928, ou il a perdu sa main gauche. Un “recit partittion” ou les auteurs détaillent le cheminement musical et technique de celui qui se considérait comme le plus grand guitariste du monde. La préface est signée Thomas Dutronc. Le disciple idéal. (Le Figaro)

 

Un album attachant qui retrace la jeunesse de Django Reinhardt, le génial guitariste, créateur du jazz manouche, handicapé de la main gauche dans l’incendie de sa caravane à Saint-Ouen, près de Paris à l’âge de 28 ans. Ce biopic met en scène la passion et l’obstination d’un des plus grands guitaristes du monde.  (Le Populaire)

 

Django Reinhardt est l’essence même dujazz manouche. Cette biographie de qualité s’attarde sur la jeunesse de Django Reinhardt, période peu connue du grand public, mais qui explique tout le talent de cet artiste majeur du XXesiècle. (Le Télégramme)

 

Évoquer la mémoire de Django Reinhardt en 2020 est un bel acte de bravoure tant cet immense artiste a disparu des écrans radars (…) Pour autant, évoquer Django, c’est raconter le parcours d’un gamin de la zone de Paris, cet espace où les bidonvilles s’implantèrent et où les Manouches et trente mille autres habitants essayèrent de se construire une nouvelle vie. Dans cet exercice de style, Efa et Rubio livrent une très belle partition pour raconter l’histoire de ce musicien exceptionnel et unique. (Frédéric Bosser, DBD)

 

Dans ce récit de ses vingt premières années, Salva Rubio a mis l’essentiel du “manouche aux doigts d’or”. Sa timidité et son audace, sa fierté ombrageuse, son obstination, sa passion de la musique et de la liberté. La suite de son (trop court) destin, les rencontres prestigieuses et la gloire international e y sont comme déjà contenues. (Casemate)

 

Déjà auteurs d’un remarquable biopic sur Monet, le scénariste Salva Rubio et le dessinateur Efa s’attachent ici à la jeunesse du musicien prodige, mettant en scène la passion et l’obstination de celui qui s’est toujours considéré comme le plus grand guitariste du monde. Dans ce récit-partition, découpant les cases comme des accords, le dessinateur anime la romance d’une vie en vibrations aquarellées pour mieux accompagner le cheminement musical et technique de l’inventeur du jazz manouche. (Gazette Npc)

 

Thomas a une véritable folie positive et contagieuse de Django“, poursuit le journaliste. Amour qui transpire dans la préface de la BD “Django main de feu” (Dupuis/Aire libre) signée de l’artiste. “C’est une très belle BD, qui montre bien qu’avant son accident (des doigts brûlés dans l’incendie de sa caravane l’amènent à inventer un style unique à la guitare, ndlr) Django était reconnu comme un des meilleurs“, déroule le fils de Jacques Dutronc et Françoise Hardy. (LaDepeche)

 

Cette magnifique BD de Ricard Efa et de Salva Rubio s’attarde sur les premières années de la vie de Django Reinhardt, jusqu’au terrible incendie de sa roulotte, qui le meurtrit dans sa chair mais le fit entrer dans la legende. Par la grâce de la musique et la fulgurante de son génie. (Jazz Magazine)

 

Le scénariste Salva Rubio et le dessinateur Efa avaient déjà signé ensemble un remarquable biopic sur Monet en 2017, rendant hommage à l’obsession du peintre pour la lumière. De même, ce biopic consacré à la jeunesse du musicien prodige met en scène la passion et l’obstination de celui qui s’est toujours considéré comme le plus grand guitariste du monde. (Maxoe)

 

De la musette au jazz, du violon au banjo puis à la guitare, la destinée de Django est celle de sa main de feu, habitée par le “duende” qui brûle dans l’âme du musicien manouche. Celle d’un miraculé qui renaît de ses cendres, plus éblouissant que jamais. Une bonne partie de l’originalité de cette BD tient à ce que l’enfance de Django y occupe une place déterminante. (France Musique)

 

Le scénariste Salva Rubio et le dessinateur Efa n’ont de cesse de traduire la passion – absolue et obstinée – des grands artistes pour leurs arts respectifs. (BdZoom)

 

La BD d’Efa et Rubio préfère s’attarder sur les années des débuts, ces années où le jeune homme superbement doué et conscient de son talent cherche tout simplement à devenir le meilleur de Paris, de France mais, plus sûrement, du monde. Instructif, allant à l’essentiel, ce biopic de facture classique rend un hommage justifié à cet homme incandescent, amoureux de la vie, de la musique, du jeu qui ne pouvait guère se consumer lentement. (unidivers.fr)

 

Le jazz de Django redevient à juste titre à la mode. L’album d’Efa au dessin et Rubio, coloré, vif, profond, est à classer dans ces titres qui vous emmènent dans les nuages. Quoi de plus normal pour Django. Un dossier de 16 pages illustrées reprend en fin d’album toute la carrière de ce magicien musicien. Thomas Dutronc, lui aussi guitariste inspiré et fan de jazz manouche, ouvre le bal par sa préface à une aventure chaleureuse dont les notes vibrent sans cesse, superbes et divines. (Ligne Claire)

 

Alors Django trouve un sens à sa vie, et le récit que nous livrent Salva Rubio et Ricard Efa prend toute son ampleur et son rythme, élevé comme celui du jazz manouche et du déplacement des doigts de Django Reinhardt sur les cordes et le manche de sa guitare. Des années difficiles, où l’histoire se confond parfois avec les légendes et les anecdotes, comme l’explique le scénariste Salva Rubio dans l’intéressant dossier documentaire qui complète l’album. Nul besoin d’être un amateur éclairé de jazz pour apprécier une belle histoire, et ce très bel album nous en propose justement une.  (Auracan)

 

Il n’est jamais facile de traiter d’une star telle Django Reinardt en bande dessinée. Salva Rubio et Efa le dévoilent dans Django Main de feu. Un bel opus qui débute avec la naissance de l’icône du jazz manouche. C’est un roman graphique fascinant. Pour les amateurs de jazz manouche ou pour ceux qui veulent découvrir la prodigieuse aventure d’une icône du jazz à la française. Les auteurs rendent un hommage appuyé et circonstancié tout en dévoilant les travers de l’homme. (Boojum)

 

Salva Rubio et Efa se penchent sur sa jeunesse et ses débuts dans le music-hall. Cette tranche de vie est étonnante, surprenante mais ô combien accrocheuse. Elle permet de comprendre le futur grand musicien. Cette biographie dessinée est contée simplement, sans artifice et c’est ce qui plait. Le résultat est accrocheur. On se plait à suivre la vie de Django.(Comixtrip)

 

Il n’est pas nécessaire d’être musicien et d’être fan de guitare pour connaitre le nom de Django Reinhardt. En effet, ce virtuose de la guitare et inventeur du jazz manouche, est un peu l’équivalent de Mozart à la musique classique. La comparaison est élogieuse mais elle n’est pas usurpée. Et lorsque vous aurez lu l’album de Salva Rubio et Efa dans la belle collection Aire libre des éditions Dupuis, vous en serez totalement convaincu. (Krinein)

 

Ricard Efa met de la musique dans le scénario de Salva Rubio. Des bars à concerts à l’hôpital Lariboisière, le dessinateur espagnol invite au voyage dans des décors lumineux. Tout en couleurs directes, chaque case est soignée dans les moindres détails. Les personnages respirent par leurs regards. Les doigts de Django voguent sur les cordes de son banjo avec précision. Le scénariste a effectué un pointilleux travail d’historien pour coller au plus près à la réalité. Pas flagorneuse, cette biographie présente Django sous un angle rude, plutôt prétentieux et pas franchement aimable.  Mais n’est-ce pas le prix qu’il a choisi de payer pour atteindre son but ? (Bd Best)

 

Salva Rubio avait auparavant su les coucher sur un scénario, lui le spécialiste des projets de type historique, s’essaye à cerner un héraut du jazz européen, après Monet le héros impressionniste. Dans un album qui ne veut être ni larmoyant ni complaisant, face à un jeune adolescent au succès aussi rapide qu’éphémère, avant son terrible accident qui ne sera finalement qu’une pause (et pourquoi pas un Django Main d’or pour une suite ?), le scénariste puise dans une Histoire complice, au cœur des roulottes et des troquets parisiens. Duo complémentaire et exemplaire, Rubio et Efa ont donc composé une courte biographie sans aller dans le cœur de l’œuvre de Django mais en cherchant à évoquer sa flamme, sa jeunesse et un peu de sa folie. (Avoir Alire)

 

Le style narratif choisit l’angle de l’émotion, avec des postures dramatiques, des moments romantiques et les dialogues, très nombreux, pèchent un peu par leur légèreté. Néanmoins – et c’est le propre de la BD – on peut assister aux événements tant relatés que sont l’incendie de sa roulotte et sa dextérité à la main gauche, dont seuls trois doigts répondaient encore. A ce sujet, une double page évoquant son travail de rééducation à la guitare, propose une frise de positions d’accords à la guitare, avec cette étrange combinaison. Un travail d’anatomiste fascinant. (Citizenjazz)

 

Scénario fluide, dessin agréable et gros travail de recherche de la part du scénariste Salva Rubio, confronté ici à une histoire transmise oralement, « volontairement embellie d’anecdotes, d’exagérations et de contes rarement fiables pour le chercheur ». Mais comme le remarque le scénariste, il n’existe pas de héros réel qui n’ait sa part de légende… (Franceinfo)

 

Cette nouvelle bande dessinée, Django Main de feu, est le portrait d’un artiste surdoué, très conscient de son talent. Mais très jeune il est victime d’un accident domestique, un incendie de sa roulotte qui le laisse avec deux doigts amputés et les trois qui restent presque paralysés. Handicapé, il va complètement changer de technique pour réinventer sa manière d’être le meilleur. (Regards Protestants)

 

L’historien, Salva Rubio, en un texte de fin, explique les libertés qu’il a prises avec l’Histoire telle qu’on peut la connaître. … Les auteurs réussissent à nous faire partager ses joies, son amour du banjo d’abord, de la guitare ensuite mais aussi à nous faire appréhender la très grande estime de soi qui fait de Django un cas à part. (Syndicat National des Enseignements de Second degré)

 

Après Monet, le duo espagnol Salva Rubio et Ricard Efa revient avec une nouvelle biographie d’artiste. Après la peinture donc et le formidable regard de Monet sur la réalité de la couleur, Salva Rubio se plonge dans la musique et le jazz manouche en particulier. (L’Echo)

 

Le récit d’Efa et Rubio est centré sur cet épisode qui change la vie du jeune musicien, dont l’avenir est évidemment compromis. Tout cela est évidemment très bien documenté, le plus célèbre des jazzmen français ayant réussi à opérer (sur une période de deux ans) une rééducation complète de sa main pourtant déformée. Un album que Salva Rubio a scénarisé avec beaucoup de doigté (excusez-la), qui nous redonne envie surtout d’écouter sa musique exceptionnelle, qui a marqué les années 40 et 50. (La Presse Canada)

 

Au-delà d’un artiste de légende, on rencontre surtout un homme, ou plutôt un garçon, pour qui la passion rime aussi un peu avec démons. Impossible de ne pas être touché, mais aussi un peu agacé, par ce gosse qui a grandi loin des sentiers battus. Et qui s’est construit sa légende à la force de ses doigts qui parcouraient les cordes de son instrument avec une dextérité et une passion folles ! (Acutalitté)

 

Cette BD retrace sa reconstruction, son dépassement de soi, pour retrouver son amour de la musique, abordant, par la même occasion sa vie amoureuse, ainsi que son obsession pour la musique. Un album émouvant, superbement illustré par Rubio et Efa. (Julitlesmots)

 

“Django Main de feu” parait à l’occasion du 110e anniversaire du guitariste. Le scénariste Salva Rubio et le dessinateur Efa signent cette bande dessinée immersive qui comporte aussi un chapitre évoquant le travail d’historien effectué par Salva Rubio. (RTS)

 

Pour les auteurs, le scénariste Salva Rubio, et le dessinateur Efa, raconter l’enfance de ce gamin plus que turbulent que fut Django, c’est aussi raconter le début du vingtième siècle, nous montrer ce qu’était alors le monde tzigane, ou rom, ou gitan. C’est également, plus largement, l’occasion de nous parler d’apprentissage, de la solidarité d’une communauté et, surtout, de l’art, de la musique. Choisir de nous parler de Django Reinhardt, cela n’a rien eu de gratuit, incontestablement. (RTBF)

 

Magnifique biopic signé par Ricard Efa et Salva Rubio, déjà auteurs d’une superbe biographie de Claude Monet. (LaLibre)

 

Cette BD, d’une extrême justesse, nous plonge dans la culture de ce peuple, dans la jeunesse de l’artiste et dans son incommensurable talent. Les illustrations nous embarquent ailleurs, et l’on redemande une autre musique, encore et encore ! (Murmure des mots)

 

La force de ce joli album, gracieusement mis en images dans des tons tantôt âpres, tantôt doux, est son sens du détail. Django Main de feu dresse très agréablement un portrait évocateur, étayé de recherches biographiques dont les inconnues ou imprécisions ont été habilement comblées par la fiction. (Bodoi)

 

Un livre « culturel » au sens large et noble du terme, un livre qui nous donne à voir la naissance d’un destin, la lutte et la révolte nécessaire à toute création. Des valeurs, tout compte fait, qui manquent beaucoup de nos jours !… (Bd Chroniques)

 

Son enfance est une légende auréolée de mystère, et c’est sur celle-ci que les auteurs ont choisi de se concentrer, après de longues recherches historiques détaillées à la fin de l’ouvrage. (Longueur d’ondes)

 

Efa et Rubio nous livrent un portrait hommage sans concession du jeune prodige. Très orgueilleux et pas toujours très sympa avec son frère, Django s’est très tôt autoproclamé  le plus grand guitariste du monde. L’histoire et la postérité ont montré qu’il avait raison, et c’est là sans doute la marque des vrais génies. Voilà un très beau biopic… (Sambabo)

 

Une autre destinée exceptionnelle, celle de Django Reinhardt, inventeur du jazz manouche, est racontée dans cet album publié chez Dupuis, sous le prisme de sa jeunesse, de sa passion dévorante et précoce pour la musique et de ses débuts en tant que musicien. (FranceMusique)

 

Elles sont rares les bandes dessinées consacrées à la famille jazz. Si La note bleue de Loustal fait office de référence, puisqu’elle raconte la vie du saxophoniste Barney Wilen, Django Main de feu (Aire Libre) du tandem Efa/Rubio devrait obtenir la même notoriété. Plus qu’une BD, c’est une l’histoire d’une passion d’un musicien de génie qui s’est construit tout seul. Plutôt que de redessiner ses années de gloire qui furent bien documentées, les auteurs/scénaristes nous entraînent au cœur de la fratrie Reinhardt. Sur des couleurs chaudes avec juste ce qu’il faut de tension pour faire naître une belle aventure, nous découvrons que c’est grâce au banjo que le moussaillon Django fit ses premières armes, et le miracle fut. (…) Un cadeau pour tous les mélomanes et passionnés de guitare, comme il se doit. (SortiesJazzNights)

 

Lo mejor del cómic es, sin lugar a dudas, su capacidad para descubrirle a los lectores y lectoras el porqué de la importancia de Django Reinhardt como intérprete y el porqué de ese apodo de “mano de fuego”, algo que también puede interpretarse por su fantástico arte fuera de la ortodoxia y de una personalidad tan deslumbrante que su legado continúa influyendo a infinidad de instrumentistas de la más variada orientación musical. (MondoSonoro)

 

Salva Rubio logra cautivar al lector con hechos y no con parrafadas, estamos viviendo la historia que nos cuenta y eso, además de magnífico, no es nada fácil de hacer sin salirse de la línea biográfica. Y eso sin mencionar el tiempo de documentación necesario que requiere el mismo, si bien, conjuga con los vacíos que puede suponer una época con poca información. (Underbrain)

 

La sensibilidad y la humanidad que transmiten con cada una de las páginas, unido a cierta saudade visual que no puedo explicar y que me resuena de una forma muy personal, hacen de éste uno de los cómics que más me han llegado en los últimos tiempos. Desde luego es uno de mis cómics musicales preferidos y el primero que me viene siempre a la cabeza cuando pienso en música y cómic. (Es la hora de las tortas)

 

Django. Mano de fuego no es sólo la representación gráfica de una historia familiar, sino que es la traslación del origen de un arte como el jazz manouche a través de otro arte, el cómic.  Salva Rubio yRicard Efa consiguen que el lector entre de lleno en una cultura poco conocida, y son capaces de hacer que incluso instrumentos y estilos musicales completamente ajenos a la actualidad resulten llamativos e interesantes. (SalaDePeligro-ElEspañol).

 

El guion de Salva Rubio, documentado donde hay material y rellenando huecos de forma coherente donde no, consigue atrapar al lector aún tratando la vida de alguien de otra cultura, otra época y otra forma de vida totalmente ajena. Y el dibujo de Efa se distancia de lo que le vimos en Monet, donde adoptaba un estilo que recordaba al del pintor protagonista de la obra. (…) Una vez leído, es perfectamente comprensible que esta obra se llevara el Premio Atomium/Cognito del Salón de Bruselas  a la mejor obra histórica de 2020. (Eslahoradelastortas)

 

Django, Mano de Fuego es la biografía más hermosa en formato cómic que he leído este año. (…) Django, Mano de Fuego es un álbum verdaderamente hermoso que rinde homenaje a uno de los mejores guitarrista de jazz de todos los tiempos. Una obra premiada en Bélgica. (CrónicasLiterarias)

 

La obra combina a la perfección las partes musicales con las personales, reflejando los sucesos que convirtieron a Django en una leyenda. (…) Django. Mano de fuego es una historia de superación, música y emociones que nos cuenta los momentos transcendentales de la infancia del musico que sirven de punto de ruptura en su vida y destino. Un trabajo notable de Salva Rubio y Ricard Efa que confirman lo que habían apuntado con Monet. (ZonaNegativa)

 

Una obra donde aparentemente no sobra ni falta nada, muy bien editada, con un sólido guion y un hermoso dibujo que hacen de Django. Mano de fuego una obra que no debe de faltar en las estanterías de todo fanático del jazz. (LibrosArcanos)

 

El guion de Salva Rubio es conciso, casi quirúrgico; económico y expresivo; resultado de una labor de documentación profunda y exhaustiva. (…) Las viñetas están completamente llenas de detalles que explican lo que sucede, que matizan la acción. La música casi se puede escuchar en las viñetas. El uso de las páginas es muy clásico y eficaz. Y lo que deslumbra es el entintado. Precioso. (ElCorreoDeAndalucía)

 

Django, Mano de Fuego es un álbum verdaderamente hermoso que rinde homenaje a uno de los mejores guitarrista de jazz de todos los tiempos. (Crónicas Literarias)

 

Desde las caravanas gitanas donde vio la luz, a las calles donde se crió y los escenarios que empezaron a reconocer su talento, el transitar vital de Django Reindhart encuentra soberbio acomodo en un guión que no para y que, perfecto sabedor de las virtudes de su compañero de viaje, descansa por completo en dejar que Ricard Efa se saque de la manga recursos de prestidigitador de esos que, lo decíamos más arriba, consiguen epatar al lector más curtido. (Fancueva)

 

Bonito y entretenido álbum el que les ha quedado a Salva Rubio y Ricard Efa donde dan cuenta de los primeros años de vida, vital y musical, de este pequeño genio que hizo de la desgracia virtud y que conquistó el oído de todos aquellos que pudieron escucharlo. (Banda Deseada)

 

We staan achter de keuze van scenarist Salva Rubio om het album op te hangen aan Django’s verwonding en revalidatie. Het is nu eenmaal een tot de verbeelding sprekend gegeven. Wat we minder begrijpen, is de beslissing om niet Django’s hele leven te behandelen, desnoods in verkorte vorm via een verstripte epiloog. Door de vertelling relatief abrupt af te breken met het einde van Django’s herstel, verklaar je je als auteur de facto tevreden met het afleveren van een halve biografie. (Strip Speziaal Zaak)

 

Django, vonken en vuur is een graphic novel die het verhaal vertelt van Django Reinhardt vanaf zijn geboorte tot aan het moment dat hij zichzelf na die fatale brand weer had leren spelen. We leren een eigenwijze, arrogante jongen kennen die nooit heeft leren lezen en schrijven, die ernstig gokverslaafd was en die heel goed wist hoe goed hij was. Django wordt in dit boek dus zeker niet sympathieker voorgesteld dan hij was. Toch leest dit verhaal als een trein en leef je met Django en zijn familie mee. Django werd maar 43, en hier vind je het eerste deel van dit legendarische leven, schitterend opgetekend, indrukwekkend goed verteld. (MoorsMagazine)

 

Scenarista ovo stripa, Salva Rubio je istoričar koji piše stripove i među njegove prethodne radove spada i strip-biografija Monet koja se bavi životom slavnog slikara, rađena sa talentovanim crtačem po imenu Ricard Efa a koji je crtao i Djanga. Rubio ima gotovo idealan pristup biografskom materijalu, sa sistematičnošću i naučnom doslednošću kakve se očekuju od istoričara koji barata pre svega dokazivim, proverljivim činjenicama, ali onda i sa senzibilitetom proznog autora koji shvata da mitovi nisu prepričavanje činjenica i da bi, uostalom, kreiranje „tačne“ biografije Djanga Reinhardta bio uzaludan posao već na ime nedostataka brojnih biografskih podataka koji bi se strogo uzev smatrali obaveznim za ovu formu. (Cvecezla)

 

The art provides crucial visual details, from subtle facial expressions to the rich backgrounds of a Roma camp, jazz club, and hospital. It includes a kind of soundtrack, too, naming song titles that are supplemented by an enlightening afterword with photographs. Django, Hand on Fire is a fascinating account of the crucible in which an artist’s second life was forged. (Foreword Reviews)

 

Django, Hand on Fire, through the medium of the graphic novel, has adroitly focused on “the most dramatic portion” of his life whilst giving an interesting reflection of his cultural background and his perseverance which enabled him to become “France’s greatest guitarist”. The accompanying mini-biography fills in many of the gaps outside the graphic novels’ remit of this unique artist. (XSNoize)

 

The brilliant jazz guitarist Django Reinhardt (1910–1953) is given a high-drama origin story in this graphic biography scripted by Rubio and drawn by Efa (…) It’s a passionate rendering of a fiery life that will leave readers wishing it did not end so quickly. (Publishers Weekly)

 

Sparkling and inspirational, this is destined for the reading list of every music historian and intrigued dilettante: a beguiling magic window into another world and one you should seek out tout de suite… (Comics Review)

 

Entrevista en Auracan.
Entrevista a EFA en Diari de Sabadell.
Entrevista en RNE – Efecto Doppler.
Entrevista en Catalunya Radio.
Entrevista en MetalSymphony.

 

Miembro asociado del WGAW
WGAW Associate Member


 

 

Miembro de la
Academia de Cine de España
Member of the
Spanish Film Academy

 

 

Nominación a
Mejor Película
de Animación
Nominated to
Best Animated
Feature Film

 

 

Nomination a los
Premios Eisner
Nomination to the
Eisner Awards

 

 

Representado por
Agencia Literaria
Antonia Kerrigan
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Antonia Kerrigan
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